08/06/2012
piratage des logiciels l'Algerie mauvaise élève
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La Business Software Alliance vient de dévoiler les résultats de sa dernière étude concernant le piratage mondial des logiciels. Pour cette association, le gouvernement algérien aurait un grand rôle à jouer pour lutter contre ce fléau en montrant simplement l'exemple...
57% des utilisateurs d'ordinateurs ont admis qu'ils ont acquis des logiciels piratés. Le taux de piratage des logiciels informatiques en Algérie a atteint l'an passé les 84%, soit une perte estimée à 83 milliards de dollars ! Ainsi, sur 100 programmes installés par les utilisateurs, 84% l'auraient été sans aucune licence.
Mourad Naït-Abdesselem, Directeur Général de Microsoft Algérie, a souligné que " tout en se souvenant que le 'piratage informatique est une tricherie et la tricherie, c'est du vol' implique que les dirigeants d'entreprises en Algérie sachent que la loi algérienne condamne le piratage informatique ".
La Business Software Alliance a souligné un autre fait très important. Si les gouvernements veulent vraiment éradiquer ce problème, il existe des moyens que d'autres pays ont mis au point et qui ont porté leurs fruits. Parmi ces moyens :
- l'amélioration de l'instruction et de la sensibilisation du public sur le sujet
- la modernisation des protections des logiciels et autres oeuvres protégées par les droits d'auteurs
- le renforcement de l'application des lois sur la propriété intellectuelle avec des ressources dédiées à cet effet
- mais surtout il faut que les gouvernements donnent l'exemple en utilisant uniquement les logiciels pourvus de licences.
" Notre expérience à travers le monde indique que lorsque le gouvernement est activement impliqué dans les initiatives d'instruction et de sensibilisation à long terme et la prise de mesures répressives adéquates afin de s'assurer que ceux qui piratent soient réellement sanctionnés par la loi, alors le pays en question constate des réductions importantes du taux de piratage de logiciels. Ceci profitera à tout l'écosystème IT en Algérie ", a souligné Dale Waterman, grand avocat d'entreprises dans le domaine de l'anti-piratage pour la région Moyen Orient et Afrique auprès de Microsoft.
Vous l'avez compris, le gouvernement algérien se doit de montrer l'exemple s'il veut mettre fin une fois pour toute au piratage de logiciels informatiques. Est-ce le cas selon vous ?
A titre de rappel, la Business Software Alliance est à ce jour le plus ardent défenseur de l'industrie des logiciels. Elle regroupe près de 100 compagnies de rang mondial qui, chaque année, investissent des milliards de dollars pour créer des solutions de logiciels qui relancent l'économie d'un pays et améliorent la vie moderne.
Toute l'étude peut être téléchargée à cette adresse : http://www.bsa.org/globalstudy
57% des utilisateurs d'ordinateurs ont admis qu'ils ont acquis des logiciels piratés. Le taux de piratage des logiciels informatiques en Algérie a atteint l'an passé les 84%, soit une perte estimée à 83 milliards de dollars ! Ainsi, sur 100 programmes installés par les utilisateurs, 84% l'auraient été sans aucune licence.
Mourad Naït-Abdesselem, Directeur Général de Microsoft Algérie, a souligné que " tout en se souvenant que le 'piratage informatique est une tricherie et la tricherie, c'est du vol' implique que les dirigeants d'entreprises en Algérie sachent que la loi algérienne condamne le piratage informatique ".
La Business Software Alliance a souligné un autre fait très important. Si les gouvernements veulent vraiment éradiquer ce problème, il existe des moyens que d'autres pays ont mis au point et qui ont porté leurs fruits. Parmi ces moyens :
- l'amélioration de l'instruction et de la sensibilisation du public sur le sujet
- la modernisation des protections des logiciels et autres oeuvres protégées par les droits d'auteurs
- le renforcement de l'application des lois sur la propriété intellectuelle avec des ressources dédiées à cet effet
- mais surtout il faut que les gouvernements donnent l'exemple en utilisant uniquement les logiciels pourvus de licences.
" Notre expérience à travers le monde indique que lorsque le gouvernement est activement impliqué dans les initiatives d'instruction et de sensibilisation à long terme et la prise de mesures répressives adéquates afin de s'assurer que ceux qui piratent soient réellement sanctionnés par la loi, alors le pays en question constate des réductions importantes du taux de piratage de logiciels. Ceci profitera à tout l'écosystème IT en Algérie ", a souligné Dale Waterman, grand avocat d'entreprises dans le domaine de l'anti-piratage pour la région Moyen Orient et Afrique auprès de Microsoft.
Vous l'avez compris, le gouvernement algérien se doit de montrer l'exemple s'il veut mettre fin une fois pour toute au piratage de logiciels informatiques. Est-ce le cas selon vous ?
A titre de rappel, la Business Software Alliance est à ce jour le plus ardent défenseur de l'industrie des logiciels. Elle regroupe près de 100 compagnies de rang mondial qui, chaque année, investissent des milliards de dollars pour créer des solutions de logiciels qui relancent l'économie d'un pays et améliorent la vie moderne.
Toute l'étude peut être téléchargée à cette adresse : http://www.bsa.org/globalstudy
ADDAR Samia
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